dimanche 20 décembre 2015 à 14h
TAFTA danger en vue pour la cause animale
LES ANIMAUX AUSSI BIENTÔT VICTIMES DE LA MISE EN APPLICATION DES DISPOSITION DU TAFTA (traité US -EU) ET CETA (traité Canada-UE)
Le TAFTA et le CETA ne visent pas seulement à supprimer les barrières tarifaires aux échanges (droits de douanes). Il s'agit également d'abolir les barrières non-tarifaires (réglementations, dont celles concernant les animaux).
Évidemment les multinationales à l'origine de ces traités souhaitent voir ces normes en vigueur dans les États concernés harmonisées par le bas pour optimiser leurs gains immédiats. Elles désirent également pouvoir empêcher toute décision publique qui contrarierait leur bénéfice.
LA PROTECTION DES ANIMAUX (déjà bien grand mot) est GRAVEMENT MENACEE par ce genre de traité qui accroît de manière impressionnante le pouvoir de ces multinationales.
Cela touche les ANIMAUX D'ELEVAGE, CEUX DES LABORATOIRES et même CEUX EN LIBERTE.
Deux grands traités de libre-échange concernent l'Union Européenne. Le CETA et le TAFTA.
Comment les pouvoirs accrus par ces accords pourraient aggraver le sort des animaux déjà terrible ?
Ces traités sont la preuve que le respect des animaux et celui des humains sont intimement liés et vont de pair. En effet, de la dégradation du sort des animaux à celle de la condition humaine il n'y a qu'un pas, l'une précédant l'autre, les deux allant de pair : ils sont l'archétype d'un système contraire au respect de la vie.
Les militants animalistes, le monde associatif ou encore les politiques sensibles à la cause animale ont-ils suffisamment conscience de ces dangers ? Si non, comment les sensibiliser ?
Comment pouvons-nous empêcher l'entrée en vigueur de ces traités ?
La conférence se déroulera comme suit : à l'issue d'un exposé d'une heure animé par deux militants animalistes, un temps pour les questions-réponses pour le public sera organisé.
Le lieu sera défini dans les jours prochains et publié sur la page de l'évènement.
Source : https://www.facebook.com/events/9402151026826
Source : message reçu le 14 décembre 21h